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Wokisme déchaîné au Nouveau-Brunswick : quand le genre devient un spectacle idéologique

Les questions de genre et de la communauté 2ELGBTQ+ envahissent sans cesse l'actualité, sous l'impulsion des fanatiques du wokisme. Le Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick (RFNB) tente de dissimuler ses véritables intentions derrière une façade d'ouverture.

Les questions de genre et de la communauté 2ELGBTQ+ envahissent sans cesse l'actualité, sous l'impulsion des fanatiques du wokisme. Le Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick (RFNB) tente de dissimuler ses véritables intentions derrière une façade d'ouverture en organisant un atelier prétendument conçu pour comprendre les identités de genre et apprendre à être un bon allié. Mais ne soyons pas dupes, cette initiative n'est qu'une nouvelle manœuvre pour imposer leur dogme.

Un prétexte pour imposer une vision unique

Animé par Alex Brownstein et Pascale Joëlle Fortin-Daigle, cet atelier, selon la présidente du RFNB, Geneviève L. Latour, vise à prétendument décentraliser des discussions habituellement réservées aux grandes villes. "L’idée est de créer un espace sécurisé où toutes les questions sont permises pour ceux qui cherchent à comprendre davantage", explique Mme Latour. En réalité, ces initiatives cherchent à museler toute opposition et à imposer une vision du genre et de la sexualité.

Une offensive idéologique déguisée en éducation

L’atelier s’inscrit dans le projet Action collective solidaire du RFNB, lancé il y a deux ans, soi-disant pour favoriser la participation publique des femmes et des minorités de genre, peu importe leur localisation. Pourtant, le concept même de "minorités de genre" et d'identités fluides est hautement controversé. Ces ateliers ne font qu'ajouter à la confusion et à la division, tout en poussant une idéologie extrémiste.

L’obsession de la différenciation des genres : une manœuvre de division

Originaire de Saint-Quentin, Pascale Joëlle Fortin-Daigle, s'identifiant comme "transmasculin non binaire de genre fluide", est l'un des intervenants de l'atelier. Fortin-Daigle a fondé Hello Gender, un programme pour "éduquer" les jeunes et leurs parents à travers des cours en ligne et du coaching.

Alors que Fortin-Daigle souhaite voir les résidents du Grand Bouctouche (Canada) participer, il est essentiel de s'interroger sur l'impact réel de ces ateliers. Facilitent-ils vraiment une meilleure compréhension et inclusion, ou bien accentuent-ils une division idéologique en insistant sur la différenciation et la fluidité des genres ? Ces initiatives, sous couvert de l'éducation, propagent une idéologie woke qui cherche à imposer cette vision de la société au lieu d'encourager un véritable dialogue ouvert et équilibré.

En fin de compte, ce qui se prétend être un effort pour l'inclusion et la compréhension n'est rien d'autre qu'une tentative de plus pour diffuser l'idéologie woke, divisant davantage la société sous prétexte de diversité et d'acceptation. Le peuple doit rester vigilant face à cette offensive idéologique qui menace l'unité et les valeurs fondamentales de notre société.

Source : https://www.acadienouvelle.com/actualites/2024/07/14/tchisse-quest-ca-queer-un-atelier-pour-comprendre-les-identites-de-genre-a-bouctouche/

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